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On nous a appris à manger “sur le pouce”.
Comprendre : vite, pratique, emballé, transformé.
Des barres, des biscuits, des snacks salés qui promettent énergie et équilibre…
mais qui laissent surtout une faim persistante et une sensation étrange :
avoir mangé sans avoir été nourri.
Le problème n’est pas le fait de manger en déplacement.
Le problème, c’est ce qu’on a accepté d’appeler un repas.
Un vrai repas ne se juge pas à son format,
mais à ce qu’il fait au corps :
👉 est-ce qu’il cale ?
👉 est-ce qu’il tient dans le temps ?
👉 est-ce qu’il apporte autre chose qu’un pic suivi d’un creux ?
Le snacking ultra-transformé a répondu à la contrainte logistique.
Il a oublié la cohérence alimentaire.
Et si, au lieu d’inventer toujours plus de snacks,
on avait simplement transformé de vrais plats…
en repas nomades ?
Le Croquant’y Cimes Tartiflette n’est pas né d’une envie d’innover.
Il est né d’un ras-le-bol.
Celui de voir le mot “repas” remplacé par des objets alimentaires pratiques,
standardisés,
et déconnectés de toute logique culinaire.
L’idée de départ était presque naïve :
prendre un plat réel et traditionnel La Tartiflette— avec des lardons, des pommes de terre, du reblochon —
et le transformer sans le trahir.
Pas en l’optimisant.
Pas en le simplifiant à outrance.
Mais en le rendant transportable.
Le Croquant’y Cimes Tartiflette n’est donc pas un snack amélioré.
C’est un repas compressé dans un format de biscuit.
Un format qui surprend,
mais une logique qui reste profondément alimentaire :
des ingrédients reconnaissables,
une vraie satiété,
et cette sensation rare, quand on mange en déplacement,
d’avoir réellement mangé.
Le problème n’a jamais été le format.
Ce n’est ni le biscuit,
ni le sandwich,
ni le repas froid.
Le problème, c’est ce que nous avons accepté de mettre dedans
au nom de la praticité.
Le snacking ultra-transformé nous a habitués
à manger souvent,
sans jamais être vraiment nourris.
Le Croquant’y Cimes Tartiflette ne prétend pas être la solution parfaite.
Il est simplement la preuve
qu’un autre choix est possible :
transformer de vrais plats en repas nomades,
sans renoncer à la cohérence alimentaire,
ni se raconter d’histoires sur ce que l’on mange.
Peut-être que la vraie question n’est pas
“est-ce un snack ou un repas ?”
Mais plutôt :
quand avons-nous décidé qu’un repas pouvait être vide,
tant qu’il était pratique ?
